L’évolution constante de la réglementation relative à la gestion de l’eau a engendré d’importantes métamorphoses au sein du secteur de l’assainissement. Jadis considéré comme un domaine simple, impliquant principalement la mise en place de fosses septiques basiques, l’assainissement a aujourd’hui gagné en complexité pour devenir un métier à part entière, exigeant un haut niveau d’expertise technique, une conformité environnementale rigoureuse et une connaissance approfondie des normes en vigueur.

Variabilité des systèmes d’assainissement domestique

Le système d’assainissement d’une habitation peut varier en fonction de divers paramètres, notamment la localisation géographique, la taille de la propriété et les régulations locales. Deux systèmes d’assainissement majeurs prévalent : l’assainissement collectif et l’assainissement individuel, comme le souligne la Société Générale d’Assainissement. L’assainissement collectif implique la connexion de la résidence à un réseau public de traitement des eaux usées, tandis que l’assainissement individuel (ou autonome) repose sur des dispositifs locaux tels que les fosses septiques, visant à traiter les eaux usées sur place.

Responsabilité financière de l’assainissement des eaux

La prise en charge des coûts liés à l’assainissement dépend largement du contexte géographique et des politiques locales. Dans de nombreuses situations, les propriétaires de biens immobiliers sont tenus de supporter les frais associés à l’assainissement des eaux. Cela peut englober des frais de raccordement au réseau public d’assainissement collectif ou encore les dépenses relatives à l’installation et à l’entretien d’un système d’assainissement individuel.

Évaluation des coûts de l’assainissement individuel

Les frais liés à un système d’assainissement individuel varient selon divers critères tels que la superficie de la propriété, le choix du type de dispositif et les conditions du sol. L’installation d’une fosse septique et d’un système de traitement des eaux usées peut représenter un investissement initial, couvrant les coûts de matériel et de main-d’œuvre. De plus, il convient de prendre en compte les dépenses liées à la maintenance régulière et aux éventuelles réparations à long terme.

Responsabilité des travaux d’assainissement

Dans l’ensemble, la responsabilité des travaux d’assainissement incombe généralement aux propriétaires de biens immobiliers. Cela englobe l’installation, la maintenance et, le cas échéant, les réparations nécessaires au bon fonctionnement d’un système d’assainissement individuel. En ce qui concerne l’assainissement collectif, les charges peuvent être réparties équitablement entre les propriétaires, en accord avec les règlements locaux et les ententes contractuelles.

Au sein de ce contexte en constante évolution, les acteurs du secteur de l’assainissement ont dû s’adapter et parfaire leurs compétences. L’ancienne perception de ces professionnels comme de simples terrassiers est en train de changer radicalement. Les experts de l’assainissement sont aujourd’hui des professionnels hautement qualifiés, bénéficiant d’une solide formation technique et d’une connaissance approfondie des réglementations en vigueur. Ils jouent un rôle essentiel dans la garantie de la conformité environnementale, en veillant à ce que chaque installation réponde aux normes rigoureuses de protection de l’eau et de l’écosystème.

Il est primordial de reconnaître que l’assainissement ne se limite plus à la simple gestion des eaux usées domestiques. Ce secteur englobe également le traitement des eaux pluviales, la gestion des eaux industrielles et la mise en place de solutions durables pour minimiser l’impact sur l’environnement. Dans ce contexte aux enjeux multiples et complexes, les professionnels de l’assainissement jouent un rôle crucial dans la préservation de notre environnement et de notre santé.

Choisir sa crédence de cuisine peut devenir un vrai casse-tête vu des centaines, voire des milliers de modèles sont proposés sur le marché. Malgré cela, cette difficulté de choix ne devrait pas vous empêcher de vous procurer de cet accessoire décoratif. En effet, en plus d’embellir la pièce, la crédence sert aussi à protéger les murs des éclaboussures et des éléments gras. Alors, pour un design réussi, comment bien choisir sa crédence de cuisine?

À quoi sert une crédence de cuisine ?

La crédence de cuisine désigne un panneau fixé au mur, derrière le plan de travail de cuisine. Il a pour rôle principal de préserver le mur contre l’humidité et les salissures projetées lors de la préparation alimentaire. Il peut s’agir entre autres d’éclaboussures d’huile ou encore, de petits fragments et de déchets d’aliments.

En plus de son rôle fonctionnel, ce revêtement mural sert aussi à habiller et à décorer la cuisine. Pour cela, la crédence se décline sous divers modèles. Un large choix est proposé sur le marché se déclinant selon le matériau de fabrication, la couleur et les motifs. Quand elle est choisie convenablement, elle apporte une véritable touche décorative à la pièce.

Notez qu’il est également possible pour vous de créer votre propre crédence personnalisée, si vous êtes un adepte du DIY ou si vous aimez juste bricoler. Vous pouvez entraîner vos enfants et votre partenaire dans cette belle aventure pour que tout le monde y mette sa touche personnelle.

Comment choisir sa crédence de cuisine ?

Pour choisir sa crédence de cuisine, quelques points importants doivent être pris en compte, à savoir :

• Son matériau : la solidité et la résistance de l’accessoire en dépendent. Parmi les choix qui s’offrent à vous figure la crédence stratifiée, qui a l’atout d’être résistant et aussi facile à nettoyer. La crédence adhésive, quant à elle, est facile à poser. Elle est imperméabilisée et se décline sous divers motifs et coloris. De nombreuses alternatives s’offrent également à vous : la crédence en plaquettes de parement, la crédence en verre ou encore la crédence en carrelage ;
• Ses dimensions : vous avez le choix entre des crédences de cuisine sur mesure ou standard. Les modèles standards ont l’avantage d’être plus accessibles en termes de prix. Les crédences sur-mesure, quant à elles, conviennent parfaitement au mur, mais leur prix est légèrement élevé ;
• Ses motifs qui dépendent de vos goûts personnels ou du style que vous souhaitez adopter dans la cuisine.

Choisir sa crédence de cuisine : sur quels accessoires miser ?

Pour un rendu plus esthétique, vous avez la possibilité d’équiper la crédence d’un accessoire design, comme :

• La barre de crédence pouvant être en inox ou en alu. Elle permet de suspendre les ustensiles de cuisine ;
• L’étagère : celle-ci équipe une crédence plus large. Cet accessoire permet le rangement de divers types d’objets ;
• La barre alimentée pouvant être collée ou fixée.

Ainsi, choisir sa crédence de cuisine peut réellement être une partie de plaisir si vous savez quelle sorte d’accessoire il vous faut. Qu’attendez-vous donc pour vous lancer ?

Pour ceux qui ne le savent pas, une centrale vapeur est un appareil électroménager qui permet de repasser ses vêtements. Comme l’indique son nom, elle repose sur l’utilisation de la vapeur qui est diffusée par un fer. Les centrales vapeur font la même chose que les fers à repasser mais avec beaucoup plus d’efficacité et de rapidité. Elles coûtent aussi plus chères. La centrale est composée d’un socle qui supporte un ensemble de réservoir, de moteur, de système anti-calcaire et d’un fer. Si vous éprouvez des difficultés à choisir votre centrale vapeur, continuez de nous lire, nous vous révélerons nos petits secrets !

Les types de centrales vapeurs disponibles sur le marché

De nos jours, les modèles se ressemblent de plus en plus. Nous allons tout de même vous présenter les plus courants.

– La centrale professionnelle

Ce modèle est l’idéal pour les professionnels ou les personnes offrant des services de repassage de linge. Cette centrale peut être utilisée pendant de longues heures. Elle est solide, endurantes et réglable

– La centrale Classique

La centrale vapeur classique propose moins d’options. Elle ne dispose que des éléments indispensables comme : un système anti-calcaire, un thermostat pour régler la température et un effet pressing.

– La centrale à autonomie illimitée

De nombreux concepteurs proposent des centrales vapeur à réservoir remplissables à tout moment. Ce modèle possède une autonomie illimitée.

Le prix et la puissance d’une centrale vapeur

La qualité du repassage dépend de la température de chauffe et donc de la puissance de la centrale. Ainsi, pour bénéficier d’une qualité de repassage optimale, il est recommandé d’opter pour une centrale vapeur qui a une puissance comprise entre 1200 et 2000 watts. Le prix de cet appareil électroménager dépend du modèle. Généralement, ce prix varie entre 70 et 500 euros. Il existe des modèles haut de gamme conçus pour un cercle réduit de personnes.

Les caractéristiques à prendre en considération lors du choix de votre centrale

– La semelle

Il faut miser sur la résistance de la semelle en même temps que son poids. Une semelle légère sera moins fatigante à l’usage. En vue de rendre l’utilisation plus facile, il est important de choisir une centrale avec un long cordon d’alimentation.

– Le temps de mise en route

Toutes les centrales vapeur nécessitent un temps de mise en route avant d’être utilisables. Certaines ne mettent que quelques secondes pour démarrer, d’autres peuvent prendre plus de 10 minutes.

– La capacité du réservoir/autonomie

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’autonomie d’une centrale ne dépend pas forcément de la grandeur de son réservoir. D’autres paramètres comme le débit de vapeur ou la sollicitation de l’utilisateur entrent aussi en jeu. Les centrales vapeurs à autonomie illimitée ne sont rien d’autres que celles dont le réservoir peut être rempli même lorsqu’elles sont en marche. Par contre les autres doivent être éteintes et refroidies.

– Le débit de vapeur

Le débit de vapeur peut être réglé manuellement ou de façon automatique. Il peut être augmenté ou réduit. Les centrales disposent d’un bouton situé sur la poignée du fer qui permet d’augmenter le débit de vapeur en quelques secondes.

– La sécurité

Cette fonctionnalité permet de mettre en veille l’appareil au bout d’une durée de non utilisation. Elle n’est pas disponible sur toutes les machines alors faites attention ! Sur certaines centrales vapeur, le fer peut être également verrouillé pour éviter les chutes.

– Le rangement

Il faut laisser la centrale vapeur refroidir complètement avant de la ranger. Prenez donc en considération la durée de refroidissement de l’appareil. Le poids et la taille doivent également être pris en compte.

Profitez d’un repassage de qualité supérieure et d’une rapidité hors du commun en achetant votre centrale vapeur !

Pour réparer la toiture, pour nettoyer les fenêtres ou encore pour rafraîchir la couleur des murs, il est probable que vous ayez besoin de faire des travaux en hauteur. Pour votre sécurité et pour atteindre plus facilement chaque recoin, la location d’une nacelle élévatrice est recommandée.

Nacelle élévatrice : pourquoi l’utiliser ?

La nacelle élévatrice est comme son nom l’indique un appareil dédié au levage. Il peut être utilisé pour tous les travaux en hauteur : nettoyage, entretien, réparation ou encore maintenance. La nacelle est une alternative à l’échelle et aux échafaudages. Vous pouvez notamment l’utiliser pour le traitement d’une charpente, pour la réparation de la souche de cheminée ou tout simplement pour l’installation d’une parabole ou de panneaux solaires.

Selon la règlementation en vigueur, les échelles et les escabeaux sont à utiliser dans le cas des travaux en hauteur où le niveau de risque est faible. C’est le cas des travaux de courte durée ou quand il y a impossibilité de modification des caractéristiques de la zone de travail. Les échafaudages sont recommandés pour les travaux en hauteur, ils sont fixés sur une seule zone. En utilisant la nacelle élévatrice, vous disposez d’un appareil de levage qui peut atteindre environ 18 m et qui est amovible.
Un autre point fort de la nacelle élévatrice est qu’il peut supporter plus d’une personne. En plus, elle peut supporter des charges assez importantes. Certains modèles disposent de bras articulés et d’autres des bras pendulés. Cela vous permet d’atteindre plus facilement les endroits normalement inaccessibles si vous avez utilisé des échelles. Grâce à la nacelle élévatrice, vous pouvez réaliser des travaux en hauteur en toute sécurité et de manière plus efficace.

Comment utiliser une nacelle élévatrice en toute sécurité ?

Vous prévoyez de faire des travaux en hauteur et vous souhaitez utiliser une nacelle élévatrice plutôt qu’une échelle ou des échafaudages. Il y a des dispositions règlementaires à respecter, même s’il s’agit d’une utilisation non professionnelle. Pour commencer, il faut que vous portiez un casque de sécurité ainsi qu’un harnais. Vous devez aussi être en possession d’un permis de conduire de catégorie B. Pour une bonne manipulation de la nacelle élévatrice, à moins que vous vous fassiez assister par un professionnel, l’entreprise qui vous loue l’équipement doit vous donner une formation quant à l’utilisation de l’appareil.

Comme il s’agit d’un matériel amovible, la première précaution lors de son utilisation est de s’assurer que le camion est bien stable. A cet effet, il est préférable que le sol ne présente aucun obstacle et qu’il soit bien plat. En effet, le camion est doté de stabilisateurs hydrauliques. Il faut aussi bien respecter la charge maximale que la nacelle peut supporter pour éviter d’éventuel accident.

Pour information, la commande de la nacelle est différente de la commande pour les dépannages. De nombreux capteurs sont également présents sur le camion afin que vous puissiez utiliser la nacelle sans danger pour vous et les autres personnes aux alentours. Il faut savoir qu’il existe de nombreuses sociétés qui louent des nacelles élévatrices. Le prix de location nacelle dépend de la capacité de charges de la nacelle.

Avoir un système de climatisation efficace constitue un atout bien-être pour les résidents d’une maison. La bonne installation d’un climatiseur et un entretien adéquat assurent un fonctionnement correct et une longue vie à votre dispositif. Suivez le guide.

Les différents types de climatiseurs

En termes de climatiseurs, la gamme est vaste et les modèles sont variés. Du point de vue technique, trois types se démarquent : les appareils monobloc, les appareils split et multi-split. A côté, il y a aussi les appareils de climatisation à gaz, à pompe à chaleur et à énergie solaire. Le climatiseur monobloc se reconnait par sa structure en une unité et sert à rafraichir les pièces exiguës. Le modèle split est composé de deux unités intérieure et extérieure (respectivement pour la diffusion d’air frais et l’évacuation d’air chaud) et peut être installé de 5 manières différentes. Tous ces modèles peuvent apporter soit uniquement du froid, soit offrir à la fois de la chaleur et de l’air frais.

Particularités des types de climatiseurs

Comme le choix peut être difficile en raison de la diversité des modèles, il est important de surpasser l’aspect esthétique pour voir la capacité du dispositif et sa facilité d’installation. Par exemple, un climatiseur monobloc a une puissance restreinte et ne convient donc qu’aux petites pièces. Toutefois, ils sont compacts et peuvent rapidement être installés. Certains modèles munis de roues peuvent passer d’une salle à l’autre, et les modèles encastrables peuvent prendre place au niveau des fenêtres. Par ailleurs, c’est le modèle le moins coûteux puisqu’il se paie à 200€, bien que les modèles les plus puissants puissent valoir dans les 4000€. Ensuite, un climatiseur split, comme son nom l’indique, est « séparé » en deux ou plusieurs unités. Cela lui confère plus d’avantages, comme la possibilité d’utilisation dans plusieurs salles ou dans de grandes salles. Il suffit alors de prendre un modèle muni de plusieurs unités intérieures. Le climatiseur split ou multi-split est aussi silencieux. Ce modèle se paie entre 1000 et 7000€ en fonction du nombre de blocs intérieurs.

Où installer son climatiseur ?

Savoir où installer votre climatiseur est primordial pour garantir une bonne répartition de chaleur et de froid, un bon accès pour l’entretien, et surtout la sécurité des occupants de la pièce. Pour un climatiseur mono-split (muni d’un seul bloc intérieur) ou bi-split, le bloc extérieur doit être placé à l’abri du soleil et des coups de vent. Placé sous une fenêtre, ce dispositif peut occasionner une nuisance sonore. Il est donc primordial de déterminer l’usage des pièces qui vont l’accueillir (chambres ou salle de séjour). Quant aux blocs intérieurs, ils devraient normalement être installés à une hauteur supérieure à 2 m du sol, et surtout pas tournés directement vers une personne (lit ou bureau).

Quand faire appel à un spécialiste de la climatisation ?

L’installation d’un climatiseur monobloc peut généralement être faite par son propriétaire en suivant le manuel. Certaines configurations de locaux compliquent l’installation et l’entretien des climatiseurs. Aussi, l’intervention d’un spécialiste de la climatisation devient indispensable. Parmi les exemples de ces cas de figures, il y a l’orientation vers le sud des fenêtres. Pour bien choisir votre installateur, nous vous recommandons de comparer les prix et d’utiliser pour ce faire un comparateur devis climatisation.

Quand l’été est là et que la chaleur est insupportable, la seule envie cruciale est de se rafraîchir. Quoi de mieux qu’une bonne baignade dans la piscine ? Grâce à la démocratisation des piscines, tout le monde peut s’offrir cet équipement de nos jours. Dans ce dossier, nous allons nous focaliser sur les piscines hors-sol. Vous découvrirez qu’adopter ce genre de piscine pourrait être un projet intéressant.

Qu’est-ce qu’une piscine hors-sol ?

Comme son nom l’indique, une piscine hors-sol est un type de piscine qui n’a pas besoin d’être enterré dans le sol. Elle ne nécessite donc aucun travail de terrassement. Si vous avez un espace disponible, la piscine hors sol peut être installée confortablement dans votre jardin.

Les différents modèles de piscines hors-sol

Dans les boutiques spécialisées en vente de piscines comme Piscineco, plusieurs options s’offrent à vous. On distingue principalement les piscines autoportées, les piscines gonflables, les piscines tubulaires et les piscines hors-sol rigides.

En matière de piscine hors-sol, le modèle gonflable est le plus pratique. Elle se démonte avec une grande simplicité. Ainsi, vous pouvez la sortir lors des beaux jours et la ranger quand l’hiver montre le bout de son nez. Après l’avoir gonflée, il ne vous reste plus qu’à la remplir d’eau. Toutefois, la piscine gonflable est fragile et peu durable, surtout s’il n’est pas de qualité. C’est un modèle approprié aux enfants.

La piscine autoportée est une version plus rigide de la piscine gonflable. Elle se monte et se démonte sans difficulté. Elle procure un espace détente par excellence pour toute la famille. Vous pouvez choisir les dimensions de piscine autoportée adaptées à vos besoins. Afin de profiter de vos moments ludiques, il vous suffit de gonfler le boudin, puis remplir la piscine.

Pour les grandes familles, la piscine tubulaire est le modèle le plus adéquat. Elle met à votre disposition un espace de baignade plus grand. Dans la famille des piscines hors-sol rigides, il y a des structures en acier, en bois ou en résine. Elles sont livrées en panneaux modulaires faciles à assembler pour former le bassin.

Pourquoi acheter une piscine hors-sol ?

L’atout ultime d’une piscine hors-sol est sa facilité d’installation. La mise en place ne prendra que peu de temps, et vous pourrez profiter de vos baignades rafraîchissantes autant que vous le souhaitez. Tout ce qu’il vous faut pour le montage vous sera livré en kit pour vous faciliter la tâche.

Les piscines hors-sol ne requièrent pas forcément un grand espace. En fonction de la disponibilité de votre extérieur, vous pouvez trouver le modèle qui s’intégrera parfaitement dans votre jardin. Côté financier, le prix d’une piscine hors-sol dépendra du modèle et de la taille choisis. Mais en général, les piscines hors-sol sont abordables.

Elles ne nécessitent pas non plus de permis de construire. Vous n’aurez pas besoin de faire une déclaration auprès de la mairie si votre bassin a une surface inférieure à 10 m2, et qu’il est en place pendant trois mois. Au-delà de ces seuils, il est conseillé de demander des renseignements à votre mairie.

Les piscines hors-sol sont également sécurisées, esthétiques et faciles à entretenir. Grâce à leur design, elles embelliront les endroits où elles seront installées.

Pour l’achat de votre piscine, orientez-vous vers les marques fiables comme Intex, Gré, Ubbink ou Waterclip.

Les stérilisateurs ont un réel succès auprès des adeptes de bocaux maison. Pour cause, ce type d’appareil est à la fois pratique et efficace. En en faisant l’acquisition, vous gagnerez du temps par rapport à l’utilisation d’un modèle à gaz ou d’une casserole. Tout ce que vous aurez à faire c’est d’insérer les bocaux et de faire les réglages nécessaires. Vous souhaitez en faire l’achat mais avez du mal à choisir au vu des nombreux modèles disponibles sur le marché ? Facilitez-vous la tâche grâce à notre guide d’achat et dénichez le stérilisateur qui correspond le plus à vos attentes !

Les critères techniques

La stérilisation étant une étape délicate pour faire vos conserves, l’appareil que vous choisirez doit correspondre à l’utilisation que vous envisagez d’en faire. En effet, l’appareil nécessaire pour faire des conserves de viande ne sera pas forcément la même que pour faire des bocaux de confitures. Pour choisir votre stérilisateur, prenez donc les points suivants en considération.

La puissance du stérilisateur

La vitesse de chauffe change d’un modèle à l’autre. Si vous envisagez de l’utiliser régulièrement et pour des conserves dont la stérilisation dure longtemps, il est préférable d’opter pour un appareil qui se chauffe à vitesse moyenne. A l’inverse, les petits bocaux seront plus faciles à réaliser avec un appareil qui chauffe rapidement.
Autre point, pensez à vérifier la puissance donnée sur le stérilisateur. Ce dernier est exprimé en Watt et impacte souvent les performances de l’appareil. Vous noterez d’ailleurs que plus le stérilisateur est puissant, plus il chauffera facilement et réalisera la stérilisation rapidement.

Les options proposées par l’appareil

Comme tout appareil électroménager actuel, le stérilisateur peut être paramétré en fonction de vos besoins. Bien sûr, un modèle d’entrée de gamme n’aura pas les mêmes fonctionnalités qu’un appareil haut de gamme. Il est donc important de faire votre choix selon l’utilisation que vous prévoyez. Parmi les options les plus fréquentes à voir, il y a par exemple le minuteur. Il vous permet de vérifier d’une part le temps de stérilisation et d’autre part l’atteinte des températures importantes à la cuisson.

Le design du stérilisateur : un critère de résistance

Pour ce qui est du design de votre stérilisateur, il existe plusieurs paramètres à prendre en compte. C’est ce qui vous assure sa résistance mais aussi sa capacité pour l’usage que vous souhaitez en faire. Il faudra alors penser à :
• La matière de fabrication : Le stérilisateur est soumis à haute température, aussi il est primordial que sa cuve et le reste de l’appareil soient dans une matière résistante. L’inox répond aux critères de sécurité mais aussi aux normes concernant ce type d’électroménager c’est pourquoi de nombreuses marques l’utilisent. Dans certains cas, il est conseillé d’opter pour une cuve émaillée pour plus d’efficacité.
• Ses dimensions : Il s’agit surtout des mesures de la cuve car c’est ce qui vous permet de déterminer sa capacité. Afin de vous assurer de faire le bon choix, il est conseillé de prendre pour référence la taille de vos bocaux pour éviter tout désagrément. Il en est de même pour le nombre de grilles disponible avec l’appareil. N’oubliez pas que plus il y en aura, plus vous pourrez insérer de bocaux dans le stérilisateur. Dans un cas général, un modèle de 25 litres est suffisant pour faire des bocaux de taille moyenne.
• Ses accessoires : Grâce à certains accessoires, l’utilisation de votre stérilisateur est encore plus simple. Lors de l’achat, vous pouvez par exemple vous tourner vers les modèles disposant de robinet de vidange. Lorsque cette dernière est de qualité, elle facilite l’entretien de votre appareil sans présenter de risque de fuite.

Lorsqu’on possède un foyer, il est essentiel de posséder une vaisselle qui nous plaise et qui puisse répondre à nos besoins. Choisir sa vaisselle ne doit donc pas être fait n’importe comment. Mais comment faire pour choisir la vaisselle idéale parmi toutes celles qui sont proposées sur le marché ? C’est à cette question que nous tâcherons de répondre en essayant d’identifier les différents critères à prendre e compte.

La quantité d’éléments

Lorsqu’on investit dans de la vaisselle, le premier point dont il faut tenir compte est la quantité d’éléments. En effet, il faut que les éléments proposés soient en nombre suffisant pour répondre à vos besoins. Ceux-ci sont généralement proposés à l’unité, par lot de 4 ou de 6.

Idéalement, il est conseillé d’avoir une vaisselle suffisante pour une douzaine de convives, surtout si vous avez une grande famille et que vous l’accueillez souvent chez vous. Mais si vous habitez seul et que vous souhaitez limiter vos dépenses, alors une vaisselle pour 4 à 6 personnes devrait suffire.

Choisir sa vaisselle avec des formats classiques

Le choix d’une vaisselle avec des formats classiques est plus recommandé pour diverses raisons. D’abord, ces formats sont indémodables et s’accordent généralement avec tout type de décoration. Ils sont également plus faciles à retrouver sur le marché, ce qui vous sera bien pratique si jamais vous cassez une assiette ou fissurez un verre. Une vaisselle atypique risquerait d’être trop exclusive et vous risqueriez d’avoir du mal à remplacer un élément.

Une vaisselle avec des coloris sobres

En termes de décoration, les tendances du moment sont aux couleurs flashy, mais pour ce qui est de la vaisselle, nous vous recommandons de vous en tenir à des couleurs sobres. En effet, une vaisselle plus discrète pourra être utilisée à toutes sortes d’évènements, qu’il s’agisse d’un repas de famille ou d’une fête. Pour la touche décorative et tendance, apportez plus de gaieté avec la décoration de table et le linge de maison.

Opter pour une vaisselle robuste

Choisir sa vaisselle est généralement un investissement à moyen ou long terme. Il est donc important qu’elle puisse tenir dans le temps. Pour ce faire, rien ne vaut l’achat d’une vaisselle robuste. Vous éviterez ainsi la mauvaise surprise d’avoir une assiette rayée par un coup de couteau dès les premières utilisations.

Il n’est pas forcément nécessaire de dépenser des fortunes dans des grandes marques. Une marque moins connue et moins onéreuse utilisant des matériaux de qualité devrait amplement suffire.

Lorsqu’on est indépendant et que l’on vit seul en appartement, on a envie de vivre dans un endroit qui nous ressemble, où on se sent bien. Cependant, décorer son intérieur n’est pas forcément une opération évidente pour tout le monde. Voici donc quelques astuces pour aménager son appartement quand on est indépendant.

Indépendance et liberté de choix

L’avantage de vivre de façon indépendante, c’est qu’on peut faire des choix décoratifs sans compromis. En effet, vous n’aurez pas à vous soucier des goûts décoratifs de votre partenaire ou d’un colocataire. Vous bénéficierez ainsi de plus de liberté.

Si vous appréciez les couleurs d’une déco zen, foncez ! Personne ne vous en empêchera. Vous serez libre d’adopter le style décoratif qui vous plait le plus. Toutefois, évitez quand même de tomber dans le mauvais goût. Vous aurez sans nul doute à accueillir des invités de temps en temps, et il serait préférable que ces derniers se sentent à l’aise chez vous.

Une décoration en accord avec vos passions

La décoration de votre appartement est le reflet de ce que vous êtes, de qui vous êtes. Il ne faut donc pas hésiter à aménager son appartement en conséquence. Un amoureux de littérature s’équipera d’une grande bibliothèque remplie de ses œuvres préférées, tandis qu’un passionné de voyages préfèrera décorer son intérieur avec des souvenirs et des photos de voyages.

Vous êtes plutôt amateur d’art ? Des objets décoratifs artistiques (sculpture, tableaux etc.) seraient parfaits pour vous. Choisissez des œuvres d’artistes qui vous ressemblent, qui vous inspirent. Les artistes dits « émergents » proposent souvent des œuvres esthétiques mais plus abordables.

Aménager son espace de travail

Le travail en tant qu’indépendant offre une grande liberté, et permet dans la plupart des cas de travailler chez soi, à moins d’être un digital nomade préférant voyager partout dans le monde tout en continuant à travailler. Mais ce qui nous intéresse surtout ici, c’est le travail à domicile.

Dans le cadre professionnel, il est important de travailler dans un cadre favorisant le confort, l’efficacité et la concentration. L’idéal serait d’avoir une pièce entièrement destinée à votre boulot. Sinon, aménager un coin bureau dans son salon est également envisageable.

Evitez surtout d’installer votre bureau dans votre chambre, même si celle-ci est suffisamment spacieuse pour en accueillir un. Cette pièce doit avant tout être destinée à vous accueillir pour dormir ou vous reposer. Il est donc conseillé de ne pas associer votre chambre au travail pour un meilleur bien-être.

Aménager son appartement à moindre coût

Vous êtes indépendant, vous devrez donc supporter les charges tout seul : loyer, eau et électricité, nourriture, dépenses usuelles, elles sont nombreuses, si bien que le budget pour la décoration et l’aménagement de votre intérieur doit être pensé avec parcimonie.

Vivre dans un petit appartement permet de réduire considérablement les dépenses. Vous pouvez également adopter l’astuce du DIY (Do It Yourself) qui consiste à construire ou à réaliser soi-même ses meubles, ses objets décoratifs etc. Il existe maintenant une quantité considérable de vidéos tutos sur YouTube, sur les médias sociaux, sur les sites internet comme les blogs ou encore Pinterest.

Vous aurez alors un appartement qui vous ressemble, mais en plus, vous pourrez vous targuer d’avoir tout fait vous-même. Et surtout, vous aurez évité de vous ruiner en achetant des meubles et des déco tout-faits.

Le tableau électrique est un élément essentiel qui assure la sécurité sur l’ensemble des circuits électriques d’une habitation. Chaque foyer se doit alors d’être correctement équipé afin d’éviter les accidents qui peuvent être mortels. Si votre tableau électrique se trouve dans un état de vétusté, ou s’il ne répond plus aux normes de sécurité en vigueur, cela suggère un changement immédiat du matériel.

Quand faut-il changer son tableau électrique ?

Il faut savoir qu’en ce qui concerne le tableau électrique, ne pas le changer sans raison vraiment valable. En effet, l’installation d’un tableau électrique neuf doit uniquement se faire si le logement est neuf ou en rénovation. Mais le remplacement d’un ancien tableau électrique doit aussi se faire si cet équipement n’est plus aux normes ou encore si celui-ci est défaillant. En outre, il est à rappeler que toute rénovation ou extension d’une installation électrique doit s’effectuer conformément à la norme NFC 15-100, la référence française pour l’électricité.

Comment remplacer son tableau électrique ?

Comme toute intervention sur une installation électrique, changer son tableau électrique demande la plus grande prudence. Il est indispensable de suivre à la lettre les procédures de sécurité et la première chose à faire sera de couper le courant avant de manipuler quoi que ce soit sur l’installation électrique.

Etape 1 : L’alimentation générale / Repérage phase et neutre

Pour éviter tout risque d’électrocution, coupez le courant sur le disjoncteur général. Assurez-vous qu’il n’y a plus de tension avant votre intervention. Vous pouvez maintenant ôter le capot de protection de l’ancien tableau. Repérez la phase et le neutre : le neutre doit être en général de couleur bleue. Dans le cas où la couleur de la phase et du neutre est identique, consultez votre distributeur d’énergie afin de le faire identifier. Déconnectez ensuite les arrivées après les avoir repéré.

Etape 2 : Les circuits / Le repérage des fils

Repérez la phase et le neutre de chaque circuit et étiquetez chaque circuit (lumière, prise…). Il est à rappeler que chaque circuit ne doit pas dépasser 8 points d’utilisations, 5 points étant l’idéal.

Etape 3 : Le démontage de l’ancien tableau

Déconnectez tous les fils étiquetés. Déconnectez tous les fils de terre (de couleur jaune et vert), départ et arrivée qui sont reliés au piquet de terre. Retirez les arrivées du tableau. Dévissez le cadre de l’ancien tableau et ôtez-le.

Etape 4 : Le montage du nouveau tableau

Les tableaux électriques de nos jours se présentent en forme de coffret avec des disjoncteurs divisionnaires. Faites un repérage du nouveau coffret du tableau électrique et percez les trous de fixation du nouveau bloc. Fixez ensuite le support de fixation des blocs des différents disjoncteurs par chevillage et vissage.

Etape 5 : Les raccordements

Faites passer les fils repérés sous les rails du support de fixation. Raccordez les arrivées des fils de terre sur le bornier terre en bas du tableau. Mettre en position sur le rail du support, les disjoncteurs à utiliser, en les cliquant sur le rail métallique. Faites ensuite les raccordements pour les lignes sous les disjoncteurs, grâce à un repérage progressif. Raccordez ensuite des fils d’alimentation générale, la phase et le neutre sur le disjoncteur différentiel 30 mA.

L’étape suivante consistera à placer le peigne de pontage qui reliera tous les disjoncteurs. Enfoncez d’un geste sec le peigne de pontage sur les emplacements à cet effet sur les disjoncteurs.

Etape 6 : La vérification

Une fois toutes ces étapes menées à bien, vous pouvez maintenant poser le capot de protection du nouveau tableau électrique. Mais avant, vérifiez bien que tous les fils sont raccordés correctement. N’hésitez pas à refaire un dernier serrage de toutes les bornes. Effectuez aussi un repérage de correspondance des disjoncteurs en collant sur chaque module, une étiquette qui permettra d’identifier le circuit. Vous pourrez ensuite remettre le courant. Enfin, il ne faut pas oublier de vérifier la conformité de son installation.